Grossi�ret� Et Immunité

Diff�rents combats laquelle opposent de nombreuses pugilistes territoriaux � un ensemble de étrangers captivent l’attention du dizaines relatives au milliers relatives au spectateurs massés autour du ring et celle du pays total entier lequel profite de la retransmission télévisée de l’événement en direct pour se regrouper dans un hymne � une Nation. OnaKuneVie soir-l�, la télévision se r�v�le �tre allumée au t�l�phone Sit Nous-m�mes Jum, �l�ment petit stalag de abdiquerai du Nord-Est thaïlandais, une région issane (Phaak Isaan) dont ces habitants se pr�sentent comme liés sous majorité � la masse du Laos voisin � travers une importante proximité culturelle3. Les accaparerons regardent avec admiration � elles aînés, notant avec joie que la plus grande partie viennent de région. Concernant le ring, les victoires un ensemble de boxeurs nationaux sur les étrangers se succèdent, donnant lieu � un ensemble de remarques en ce qui concerne l’indéniable supériorité des Thaïlandais en matière de boxe, celle un ensemble de Issanes particuli�rement. Les gestionnaires du stalag reconnaissent l’un des opposants du soir, Somrak Khamsing, un célèbre puncheur originaire d’un village situé � certains kilomètres du l�.

« Il fait la fierté de la province », commente Ajan Klaew (maître Klaew), le propriétaire du stalag, « il a beaucoup de bonnes manières, il a r�alis� refaire la maison de ses m�res et p�res avec ses profits � une boxe, c’est un exemple dans le but jeunesse thaïlandaise ». 2On peut s’étonner de la relative absence de la boxe thaïlandaise dans la littérature ethnologique sur la Thaïlande4. Ce pays ne compterait pourtant pas plus longtemps moins de 70 000 boxeurs répartis dans quelque 6 000 acclimata organisés sous filières convergeant vers Bangkok5. De nombreux combats sont régulièrement diffusés � la télévision - une dizaine d’heures par semaine -, et des compétitions locales émaillent la vie festive des villageois. Tous ces événements pugilistiques suscitent une agitation populaire personnalit�, dans le Nord-Est tout spécialement. Or, jusqu’aux travaux de Catherine Choron-Baix (1995) et de Peter T. Vail (1998a, 1998b), un muay thai était relégué au niveau d’épiphénomène des observateurs occidentaux6.

Il était soit ignoré, sans doute afin de son d�pendance � la sphère sportive, soit consi-déré comme une force centrifuge de la société thaïlandaise. Vous pensons succinct la abdiquerai thaïlandaise, � l’instar d’autres phénomènes violents rencontrés dans la société thaïlandaise, n’a pas éveillé l’intérêt des inspecteurs occiden-taux car elle entre difficilement au sein de leurs schèmes interprétatifs construits � quitter des valeurs bouddhiques sommitales qui prêchent la « non-violence » (a’hingsaa, sous thaï; ahimsa, en sanskrit) et qui structurent, au demeurant, la vie soci�tale. Les rivaux sont dans les faits autorisés � se percuter non seulement entre poings fermés et gantés mais aussi avec les pieds, ces tibias, ces genoux, et enfin, les coudes. Notons, également, que uniques les fraction génitales ne souhaitent pas être visées par les pains. D’un point de vue empirique en cons�quence, le corps des pugilistes se trouve �tre impliqué dans sa presque totalité, pendouillant un maximum relatives au cinq resservies de trois minutes chacune, aussi bien comme arme d’attaque que tel cible.

3Quant aux certains universitaires thaïlandais qui depuis les années 1970 ont étudié la abdiquerai thaïlandaise si vous �tes référent national, ils n’en ont pas proposé une réelle examen sociologique, excepté Pattana Kitiarsa (2004) lequel l’a récemment questionnée � travers un prisme singulier des gender studies7. Ces Thaïlandais en général, qu’ils soient "" acteurs du muay thai, se plaisent � expliquer la très forte participation des accaparerons issanes au sein de la boxe thaïlandaise par la pauvreté des multitude du NordEst8. Les signaux de développement de la région issane se trouvent �tre de fait tr�s faibles du pays. Indiscutablement, boxer offre � tous les populations indigentes un de nombreuses seuls instruments, avec l’école, de �l�vation sociale sur un style méri-tocratique; les autres voies possibles sont, d’une part, l’entrée dans la communauté des moines bouddhistes (sangkha’), plus valorisée par les Thaïlandais9 et, d’autre part, la migration, temporaire ou définitive, � cette action d’un �molument. 4Mais le phénomène de la boxe thaïlandaise ne saurait être interprété seulement sur la termes économiques. Sans négliger cette ouverture, il faut également décrypter la majorit� des mécanismes de l’inscription de nombreuses Issanes dans la nation thaïlandaise que leur participation au t�l�phone muay thai semble matérialiser de façon originale.





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